mardi 4 février 2014

Les petit riens ou comment résister au quotidien

De plus en plus nombreux sont ceux qui voient la France disparaître sous leurs yeux :

- l'union européenne qui désormais ne peut plus cacher ses véritables objectifs de destruction des nations : perte de la souveraineté territoriale, perte de la souveraineté budgétaire, diminution alarmante des forces armées, perte de la souveraineté juridique, perte totale de toute exemplarité aux yeux du monde et soumission aux puissances étrangères.

De plus en plus nombreux sont ceux qui ouvrent les yeux sur la perdition intellectuelle et morale de la France au nom de valeur républicaines devenues folles. Perdition où la bête derrière l’ange ne peut plus guère se dissimuler :

- la liberté d’expression bafouée ;
- un ministère de l'intérieur qui se mue en ministère de la propagande et de la manipulation ;
- destruction de la cellule familiale ;
- mise à mort légale des plus faibles par l’avortement et l’euthanasie ;
- instrumentalisation et commercialisation du corps ;
- destruction mentale par la propagande de théories fumeuses (gender) ;
- matraquage fiscal ;
- publicité et soutien sur fonds publics de l’esthétique de mort au détriment des pratiques artistiques dans toutes leurs diversités ;
- flicage généralisé de la population ;
- victimisation et instrumentalisation des minorités et culpabilisation systématique des Français ;
- immigration de remplacement ;
- profanations répétées des lieux de cultes sans aucune réponse des pouvoirs publics ;
- laxisme généralisé dans la justice : coupables libérés et victimes qui n’ont que leurs yeux pour pleurer ;
- chute vertigineuse du niveau scolaire ;
- asservissement de plus en plus total de la classe politique aux usuriers et aux financiers.

Or, vous êtes nombreux à dire : « oui mais que voulez-vous, on ne peut rien faire : c’est comme ça.»

Et bien non ! Ce n’est pas comme ça ! Il n'y a de déshonneur qu'à se soumettre ! Chaque jour que Dieu fait vous pouvez faire quelque chose : vous pouvez vous lever et marcher ! Ne serait-ce qu’un petit pas, un petit rien. Ainsi, de cette multitude de petits riens résultera une force inouïe. Une force inouïe qui sera disponible, car préparée  jour après jour, lorsque nous abandonnerons la république à son destin de virus idéologique et de déchet historique !


Prioritairement, il faut arrêter ou limiter la consommation des médias de masse qui nous détruisent le cerveau.

Pourquoi arrêter ? Sachez bien que le système médiatico-politique, dominé par le consumérisme, est conçu de telle manière que d’une part vous ne pouvez pas lui échapper et d’autre part que vous devez vivre et penser comme il le veut impérativement : vous devez être un individu et surtout plus jamais une personne. Tel un parasite, il s’insinue dans tous les recoins de votre vie. Ainsi, nous devons tous être : déracinés, isolés, athées, incultes, consommateurs, égaux, touristes, citoyens du monde, multiculturels, fières et frères comme des mafieux, antiracistes, UMPS. Enfin et par-dessus tout, nous devons sanctifier la transsubstantiation du mal en « égalité pour tous » par l’opération républicaine magique de la loi indivisible et inviolable (c’est voté = c’est bien pour vous = vous la fermez !).

Comment arrêter ? De la même manière que lorsque vous cessez la consommation de tabac, les premiers jours de sevrage de consommation de médias de masse sont atroces : on ne sait pas quoi faire, on est face à soi-même incapable d’articuler la moindre pensée cohérente. On a l’impression d’un vide mental abyssale. L’espace et le temps brusquement sont à notre disposition mais nous ne savons guère qu’en faire. Pourtant, après quelques jours, le réel, les images reviennent et les mots pour les dire avec eux. Puis vous reprenez possession de vous-même. C’est à ce stade  qu’il faut tenir encore quelques semaines pour être bientôt capable d’éviter les balles des hommes augmentés et programmés qui vous tirent dessus. Vous venez de retrouver une partie de votre liberté et vous regarder désormais radio, télévision, journaux et cinéma comme des virus, comme des avatars parfaitement étrangers à votre esprit. Bientôt, ils sortent définitivement de votre vie. Certes, ils sont toujours là mais ils n’existent plus qu’à l’état de ce qu’ils sont : c’est-à-dire rien.

Il faut un peu de volonté, mais c’est parfaitement réalisable et totalement bénéfique pour la santé mentale ! C’est un acte écologiquement responsable !

Pour le sevrage, vous pouvez choisir la méthode directe ou la méthode progressive. Personnellement, j’ai opté pour la méthode progressive (car il faut aussi tenir compte du contexte dans lequel vous êtes et surtout des autres autour de vous qui ne font pas forcément la même démarche) :

1e étape : couper la radio le matin dans sa cuisine et en voiture.
2e étape : ajouter à la radio, l’arrêt de la lecture des journaux de la presse subventionnée et aux ordres (en priorité la presse nationale).
3e étape : transformer le plus possible son téléviseur en aquarium, c’est-à-dire couper le son.
4e étape : limiter le plus possible les sorties cinéma (attendre par exemple que quelqu’un de votre entourage le propose, mais ne plus suggérer cette sortie.).
5e étape : enfin, si possible, éliminer définitivement la consommation d’images télévisuelles de votre vie.

Parallèlement à ce travail de désintoxication, il est indispensable d’organiser cette liberté progressivement retrouvée, autrement il y a un fort risque de peur panique et donc de rechute immédiate.

Dans cette seconde phase, il s’agit de prendre l'exact contre-pied de ce système de domination politique, médiatique et mercantile. Ici, il n’y a pas de méthode. Chaque petit rien sera un grand pas pour celui qui le fait et un grand pas pour l’avenir de la France. Personnellement, j’ai suivi, sans vraiment le préméditer, les trois étapes suivantes :

- La vie à la campagne y étant propice,  je me suis recentré sur des activités liées à des traditions et à la nature : chasse, pêche, jardinage, champignons.
- J’ai décidé de reprendre plus assidument la lecture. J’en suis venu de fil en aiguille aux auteurs prétendument « réactionnaires » (le plus souvent catholiques et/ou royalistes). Car, toute prise de conscience du système de domination, amène forcément vers les penseurs que le système exclut pour maintenir ses esclaves dans un certain état d’ignorance. C’est particulièrement vrai dans le domaine de l’histoire, où l’on constate vite les multiples falsifications opérées par la république.
- Enfin, j’ai regardé en moi-même et me suis demandé : qu’est-ce que je dois à moi-même, à ma propre volonté ? Réponse : pas grand-chose. Qu’est-ce que je dois aux autres : mes parents, ma famille, mes amis, mes ancêtres, l’Église, la France ? Réponse : presque tout.

Ainsi, essentiellement, il s’agit de privilégier des activités liées à la nature,  aux savoirs pratiques, à la culture et à la tradition. Il convient par conséquent de renouer ou de renforcer toutes les pratiques qui font vivre les valeurs traditionnelles et leur transmission : l'honneur, la conscience de l'héritage familial et historique, la conscience religieuse.

Il ne s’agit pas d’être antimoderne ou d’être contre son temps, mais bien d’être pour l’avenir. En effet, puisqu’il ne peut y avoir d’avenir sans ces liens profonds transmis grâce à ces valeurs, il s’agit de tout entreprendre au quotidien pour les préserver et les transmettre de génération en génération. Tous les jours entretenir ces trésors et les transmettre, c’est résister et préparer le redressement de la France.

Comme vous, nous royalistes, nous ne lâcherons rien !  Nous ne lâcherons rien  devant les petits soldats républicains qui veulent tout égaliser, tout libérer, le tout dans une grande fête fraternelle de frères ennemis.
Grande fête qui se termine, comme l’histoire nous le montre presque à chaque fois, en bains de sang où seul le peuple est la victime expiatoire de ce régime mortifère.

Entrez en dissidence !


Vincent
pour la Section Alliance Royale Metz

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